Les aider à trouver leurs premiers partenaires, clients, à bâtir leur réseau, à adapter leur produit au marché, lever des fonds… Réflêchir à une « exit ».

Pour monter cet incubateur à l’Ile Maurice, Nicolas Goldstein s’est entouré de business angels français et mauriciens, et d’un familly office mauricien et a mis sur pied un réseau d’une dizaine de consultants, juristes, comptables
et experts.

La structure mauricienne, entend viser les start-ups déjà bien établies, celles « du middle market, qui sont sur le point de lever en série A ou qui vont vers leur series B. » Une étape difficile à passer en France et au cours de laquelle l’internationalisation est critique. L’Ile Maurice dispose des compétences bilingues, très ouvert à l’apprentissage et d’un rapport qualité prix très avantageux.